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Affichage des articles du octobre, 2011
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LE MOI, LE PERSONNAGE:   Halte au personnage ou le GRAND SABORDAGE! "Tant que l’on croit au personnage, « il existe » et “l’identité vraie” est bafouée. Toutefois, nous avons le choix d’arrêter de croire, de souscrire, de conjuguer le personnage. Car le conjuguer, c’est déjà une volonté et un choix que nous avons posés et qui demeurent actifs dans l’identification.  Si nous ne posons pas ce “premier choix”, alors, véritablement, il n’y a pas de choix, il n’y a pas un “second”, pas d’histoire avec. Mais le “savoir”, l’admettre n’est pas suffisant. Le choix dont je parle demande du courage et une soif particulière.  C’est comme se saborder, se trahir (le personnage).  C’est cela passer en « live ».   C’est immédiatement laisser sa vision relative, conceptuelle avec toutes nos croyances, jusqu’à la réflexion qui est en train de se tramer, pour être nu, entier, dépossédé, dans la Présence vive.  L’éveil est spontané, ce n’est pas une théorie, quelque ch
Et BETTY dit : LA GRANDE JOIE, C'EST L'ABSENCE DU MOI !
BB: le BASCULEMENT DE BETTY ...Alors j'ai vu Betty et je  retiens de sa présence ses beaux yeux bleus profonds, surtout quand elle offre avec ce beau sourire entendu, qui semble vouloir dire des choses que nous essayons de comprendre...mais en voulant comprendre, nous posons des questions, alors le beau sourire disparait pour laisser la place à des mots usés...à un moment, elle m'a dit: avec un ton que j'ai ressenti comme légèrement agacé: "..plutot que d'essayer de comprendre, tu peux donc pas seulement accueillir, accueillir la Présence?" (avec l'accent québécois!) Son regard est resté planté dans le mien attendant une réponse. Je me suis sentie "conne" et démunie: pourquoi ne suis-je pas "équipée", là, dans l'instant pour ressentir la Présence?.. J'ai vaguement haussé les épaules surement avec un air d'impuissance et son regard s'est détourné... Cependant, mes sens attestent qu"elle est bien "ailleu